Les Pléiade disposent d'un colophon depuis l'origine. Seuls font exceptions les premiers tomes des œuvres éditées d'une seule fois en deux volumes jusqu'en 1940 : seul le second tome avait alors un colophon (Molière, Corneille, Plutarque, Skakespeare, Michelet, Ronsard). Après guerre, le colophon commun aux deux volumes a été porté également sur le premier tome. A partir de 1955, le colophon commun disparait.